Monsieur Jean-François Copé vient d’achever sa déclaration solennelle à la télévision.
L’outrance de son propos et le cynisme de la méthode dilatoire imaginée pour échapper à l’explication des comptes qui lui sont reprochés par la Presse me convainc de publier sa lettre du 27 février et la réponse que je lui ai adressée (voir ci-dessous).
Je reviendrai plus tard auprès des Avalins pour leur expliquer pourquoi je leur parle de cette affaire : elle offre en effet un parallèle entre ce qui se passe au plus haut niveau de l’Etat et dans notre petite Commune.
Serge Paquin
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