Créer une délégation de service public pour gérer nos parkings ? NON, ce n’est pas raisonnable (4)
Devant le CTP l’opposition municipale a également développé deux autres raisons :
5) Le périmètre de la concession envisagée porte sur le parc de stationnement couvert. Aujourd’hui, 1171 places. Demain on pourra sans doute y ajouter Vers les Eaux et Les Richardes I. Au total cela pourrait faire un parc total compris entre 1700 et 1800 places réparties sur 8 ou 9 différents sites. Mais la concession exclurait les 700 ou 800 places actuelles de parking de surface. Nous pensons que c’est en soi une erreur grave. C’est en outre défavorable, comme nous le verrons plus tard, au fonctionnement même de la concession envisagée.
6) La concession ne porterait que sur le « fonctionnement ». Il en résulterait une délégation croupion. Pourquoi croit-on en effet que l’Etat ou les Collectivités locales en viennent à signer des délégations de service public dans les domaines variés des autoroutes, des parkings, de la signalétique, du matériel urbain etc. ? La réponse est : principalement pour se décharger de la conception, du financement, et de la construction d’installations lourdes. Tout comme du reste Val d’Isère l’a fait avec la STVI dans le domaine des remontées mécaniques. Or, justement, cette part lourde du mandat qui confie généralement au concessionnaire la responsabilité et la charge de concevoir, financer et construire les installations concédées est exclue du périmètre de la délégation proposée qui ne délèguerait que les tâches de fonctionnement. C’est bien court.
(à suivre…)
Devant le CTP l’opposition municipale a également développé deux autres raisons :
5) Le périmètre de la concession envisagée porte sur le parc de stationnement couvert. Aujourd’hui, 1171 places. Demain on pourra sans doute y ajouter Vers les Eaux et Les Richardes I. Au total cela pourrait faire un parc total compris entre 1700 et 1800 places réparties sur 8 ou 9 différents sites. Mais la concession exclurait les 700 ou 800 places actuelles de parking de surface. Nous pensons que c’est en soi une erreur grave. C’est en outre défavorable, comme nous le verrons plus tard, au fonctionnement même de la concession envisagée.
6) La concession ne porterait que sur le « fonctionnement ». Il en résulterait une délégation croupion. Pourquoi croit-on en effet que l’Etat ou les Collectivités locales en viennent à signer des délégations de service public dans les domaines variés des autoroutes, des parkings, de la signalétique, du matériel urbain etc. ? La réponse est : principalement pour se décharger de la conception, du financement, et de la construction d’installations lourdes. Tout comme du reste Val d’Isère l’a fait avec la STVI dans le domaine des remontées mécaniques. Or, justement, cette part lourde du mandat qui confie généralement au concessionnaire la responsabilité et la charge de concevoir, financer et construire les installations concédées est exclue du périmètre de la délégation proposée qui ne délèguerait que les tâches de fonctionnement. C’est bien court.
(à suivre…)
3 commentaires:
Bonjour
Desole de developper un sujet different de celui evoque ds le message d'origine.
Je souheterai simplement que l'on debate sur un probleme qui me semble essentiel pour la statisfaction de nos skieurs/clients.
"le retour de la daille "
Que l'on m'explique pourquoi nous n'avons tjs pas recouvert l'isere d'un pont d'une largeur d'environ 30 m pour permetre un acces direct des skieurs au bus de la STVI sans avoir a marcher !!
Actuelement ns avons un pont d'environ 4 m de large sur lequel ns croisons des adultes des enfants avec leurs skis et de plus en plus de voitures venant chercher des clients .
le risque d'un accident est enorme
L'investisement lie a une tel constuction est ridicule (compare aux parking par exemple)
Si le terrain est propriete du barillion (il serait je ss sure tres satisfait de se changement , la mairie pourrait lui autoriser un agrandirssement de sa terrasse.)
Tres sportivement
EP
Le 12 février 2001, dans l'amphitheâtre du Centre Henri Oreiller, j'ai procédé à la présentation de nos propositions à l'occasion des élections de mars 2001.Ces propositions ont été imprimées et diffusées dans les jours qui ont suivi. Vous pouvez y trouver ce passage qui concerne La Daille :
"Et puis aussi peut-être éclairage et aménagement de l'aire d'arrivée des pistes qui deviendrait un site de jeu pour les enfants le soir, élargissement voire même doublage du pont où s'entrecroisent voitures et skieurs, aménagement d'un plan d'eau etc.
Pourquoi ne pas supprimer le télésiège des Etroits, les oeufs fatigués eux aussi, faire un nouveau débrayable dont le départ serait dans l'aire d'arrivée puisque le critérium quitte la Daille et en profiter pour faire une passerelle eclusive aux piétons pour accéder aux navettes ?
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