jeudi, janvier 25, 2007

Réponse au commentaire de « anonyme » au sujet de la coupe du monde reprise par Val

De nombreuses manifestations sportives internationales constituent des « évènements » de première ampleur : Roland-Garros, Tour de France, Dakar, Augusta, Bercy etc. Pourquoi ? Parce que – indépendamment de la qualité et de l’intérêt des sports – une action et de l’argent ont été consacrés à faire de ces manifestations de véritables évènements médiatiques en direction du grand public, par la mise en œuvre de moyens collatéraux…très éloignés du sport lui-même. À ceux qui se plaignent que le ski (en France) n’est pas télévisé - d’où, selon eux, la désaffection du grand public - nous pouvons dire que la réalité est inverse : c’est parce que le grand public ne s’intéresse pas au ski que la télévision ne vient pas. Une recette ? Mettez dans l’aire d’arrivée Segolène, Depardieu ou Sarkozy et quelques autres, ajoutez une bonne pincée de festivités au soir des épreuves, saupoudrez d'une poignée d'interviews "people", emballez le tout dans quelques feuilles de Paris-Match et autres Gala…et vous verrez la télé revenir ventre à terre ! Faites cela trois ou quatre ans de suite, ici et ailleurs, et le ski y gagnera – sous l'égide de quelques dirigeants charismatiques - ses galons « grand public », à l’instar du rugby qui ne craint pas d’éditer maintenant des calendriers, ou même du golf qui est passé en peu de temps du statut de « Jeu pour Snobs » au « Sport des Sportifs » !

lundi, janvier 22, 2007

Bravo !

Bravo au Club des Sports et à la Régie des Pistes pour le sans faute réalisé lors de la reprise de la Coupe du Monde, la semaine dernière. Et ce n'est rien de dire que l'affaire ne se présentait pourtant pas dans des conditions faciles. Bravo aux personnels et à leurs chefs qui n'ont pas ménagé ler peine. Et merci de démontrer que quand Val d'Isère veut, elle peut. Il n'y a plus qu'à vouloir...
Toute dernière : arrangement partiel sur la Patinoire des Lèches...

Sur rapport de M. Jean-Christophe Moris, le conseil municipal a autorisé le maire à signer avec les copropriétaires de « Les Terrasses du Christiania » un accord amiable aux termes duquel ces derniers et la Commune se déclarent finalement…la paix ! Les « Terrasses du Christiania » renoncent à indemnisation ultérieure, en échange de la délivrance par la Commune d’une servitude (encore !) par laquelle - hormis la patinoire et ses annexes - elle s’interdit de construire quoi que ce soit d’autre sur la parcelle dite des Lèches. Elle promet en outre d’abandonner l’installation du compresseur à l’air libre, d’y interdire musique ou sonorisation en tous genres, activités nocturnes, manifestations sportive, culturelle ou musicale, la pratique de quelque sport que ce soit hormis le patin à glace, celle du skate board l’été ou toutes activités nécessitant rampe ou tremplin, et ceci à longueur d’année. Ce compromis met certes un terme "à l'ouest" au contentieux côté Christiania et Savoyarde, mais le projet y perd des plumes supplémentaires et l’oiseau présente encore moins d’attrait.

Oui, mais… Oui, mais la signature « à l’ouest » ne résout rien au « nord-est ». Et le contentieux Solaise Plein Sud continue, lui, de battre son plein. Quel dommage ! Et n’eut-il pas été préférable, avant de faire les concessions que l’on vient de voir « à l’ouest », de tenter parallèlement une négociation « au nord-est » avec notre principal adversaire ? Car maintenant Solaise Plein Sud joue sur le velours : même si les tribunaux leur donnent tort et qu’ils ressortent bredouilles de l’interminable procès engagé contre nous, ils auront toujours - au moins et de façon inespérée - le bénéfice des avantages prévus par l’accord « Christiania » auxquels ils ne sont pourtant pas partie prenante. Dans cette pénible histoire, nous serions-nous, une fois encore, tirés dans le pied ?

dimanche, janvier 21, 2007

Transports en commun
Nous venons d’écrire à monsieur le maire pour lui demander d’examiner la possibilité d’améliorer le service de navettes à l’intérieur de la Commune, après 20 h le soir. Pour nos clients résidents dans les hameaux – tout comme pour nos concitoyens et le personnel saisonnier - il est en effet assez dissuasif de remonter au chef-lieu pour dîner, ou tout simplement pour retrouver des amis, quand on sait qu’il n’y a qu’une seule navette par heure. C'est également une gêne pour certains professionnels qui quittent leur travail peu après 20:00 h et doivent attendre pour rejoindre leur domicile. C’est en outre un encouragement à prendre sa voiture, ce qui ne va guère dans le sens d’une Val sans voitures.

mercredi, janvier 17, 2007

Conseil municipal

Demain, jeudi 18 janvier - 19:00 h : réunion du conseil municipal.

mardi, janvier 16, 2007

Compagnie des Alpes : bases d'une concession durable

Au micro de RadioVal, Serge Paquin a précisé aujourd’hui les bases de la « concession durable » qu’il appelle de ses vœux avec la Compagnie des Alpes, au cas où se finaliserait la cession envisagée entre la filiale de la Caisse des Dépôts et la STVI. La modernisation de la concession passe, selon lui, par une garantie "longue durée" donnée au concessionnaire dès 2007, écartant en particulier l’hypothèque de 2020. Le corollaire serait une clause pérennisant la promesse d’investir avec régularité, en fonction des résultats.

En outre, il serait proposé à la Compagnie des Alpes d’accepter de reprendre les installations en cours à « Vers les Eaux ». Il s’agit du chantier du Centre Nautique et du parking qui le jouxtera. En cédant ces projets, la Commune allégerait ainsi de façon satisfaisante l’endettement excessif que lui imposerait leur financement.

A la question de Benoît Launay sur la bonne raison que pourrait bien avoir la CDA de reprendre un Centre Nautique dont le chef de l’opposition municipale et ses amis ne cessent de prédire qu’il produira un déficit de fonctionnement considérable, Serge Paquin réplique : « Nous devons assortir notre offre d’une proposition de reconversion de ce chantier en quelque chose de tout à fait différent, un "Forum Vers les Eaux" capable d’héberger des activités plus attractives et rentables ». Si Serge Paquin affirme qu’il ne lui incombe pas de dicter quoi que ce soit à qui que ce soit, il confie malgré tout qu’il imagine par exemple assez bien un centre d’attractions couvert, un nouvel espace commercial à l’instar de ceux qui fleurissent si souvent au cœur des villes moyennes...

De toutes les façons, dit-il, il est prématuré de faire des projets de cette sorte, la question étant, à ce stade, de savoir si 6 200 m² d’une structure moderne constitue pour un entrepreneur un projet immobilier attractif pour y développer un espace d’activités ludiques ou commerciales. Il pense que la réponse est oui.

Il précise que, bien entendu, la reconversion ne porterait pas préjudice, au contraire, à l’utilisation du site, en 2009, pour y installer le centre de presse des championnats du monde.

vendredi, janvier 12, 2007

STVI / Compagnie des Alpes

Radio Val lundi 15 ou Mardi 16 Janvier : Ecoutez l'interview de Serge Paquin par Benoît Launay. Extraits à 07:50 h et à 09:50 h, l'intégral à 18:00 h. Sujet : comment réussir un mariage de raison...

dimanche, janvier 07, 2007

Patinoire des Lèches

Elles courent elles courent les astreintes, elles courent toujours. Aujourd'hui, c'est le 520 ème jour depuis qu'elles ont commencé à courir... Elles sont infatigables. Il faut essayer de comprendre que quand elles s'arrêteront de courir, ce ne sera pas fini, au contraire : c'est le moment où les choses sérieuses et désagréables commenceront vraiment. Car Solaise Plein Sud recourra alors contre la décision du Juge de l'expropriation dont l'indemnité lui semblera insuffisante. Parallèlement, et bien plus ennuyeux, se mettra en branle la saisine des juridictions administratives, en annulation de la déclaration d'utilité publique. Si, comme nous le pensons depuis le début, les tribunaux estiment finalement que le Préfet y est allé fort, et de façon complaisante, en voyant de l'utilité publique là où il n'y en avait pas, la DUP sera alors annulée et on se retrouvera à la case départ. La patinoire s'avèrera construite sur un terrain...non constructible pour cause de restauration de la servitude ! Pour une Commune ce n'est pas joli-joli.
Maintenant, lisez bien ce qui suit : que se passera-t-il si, en revanche, la Commune gagne ? Bravo monsieur le maire, bravo messieurs les adjoints ? Pas si sûr, hélas. Les copropriétaires ne pourront ils alors pas remettre en cause le transfert de propriété du terrain effectué au profit de la Commune en 1963 ? Car enfin, ce terrain, ils l'ont donné en échange d'une promesse de non aedificandi. Si l'expropriation de la servitude est confirmée, ne pourront ils pas exciper de la nullité de cette opération de 1963 contre un partenaire qui aura donné puis repris la servitude contrepartie de leur ancienne libéralité ? Du coup la propriété du terrain lui-même retournera aux copropriétaires ! Nous n'aurons plus alors une patinoire construite sur un terrain communal non constructible, nous aurons une patinoire communale construite...sur terrain d'autrui ! Pour une Commune, ce sera vraiment le pompon ! Après les astreintes, après 100 000 €, 150 000 €, ou 200 000 € d'honoraires et de frais, bonjour les dommages intérêts. Car il ne s'agira plus de valeur du terrain à dire d'experts ou des Domaines, mais bien de dommages intérêts en réparation du préjudice causé par l'installation de force de cette fichue patinoire sur un terrain appartenant à des gens qui n'en voulaient à aucun prix chez eux.
A ceux qui pensent qu'en écrivant cela nous donnons à nos adversaires des idées qu'ils vont pouvoir utiliser contre nous, nous disons que leur innocence les sauvera ! Car, en effet, SPS, ses copropriétaires, son syndic, ses avocats, n'ont hélas vraiment pas besoin de nous pour se faire expliquer la manoeuvre, il suffit de leur parler un peu pour s'en rendre compte. Du reste, pour leur donner un coup de main, monsieur le maire, messieurs les adjoints, leur suffisent amplement : ils passent leur temps à se tirer dans le pied ! Mais pour nouer un véritable dialogue à partir duquel on aurait pu espérer arranger les choses, rien à faire : monsieur le maire, messieurs les adjoints, ne sont guère causants, ils ne parlent qu'entre eux. C'est insuffisant pour nous sortir de cette catastrophe.
Stationnement et transports en commun : une stratégie responsable

Article principal de la tribune Renouveau de Val n°33 que vous recevrez la semaine prochaine : la gestion du stationnement et la réforme des transports en commun à Val d’Isère. Bonjour les critiques ! Elles vont en effet pleuvoir sur nous, pour crime de lèse sacro-saint « tout parking souterrain », enfant chéri des mollahs de la solution unique, qui rêvent d’une Val d’Isère-gruyère, truffée de tunnels et de bunkers dédiés à la déesse-bagnole ! Car nous montrons un projet aux antipodes, dont le moindre des mérites nous semble être qu’il relève du possible, ce qui est certes moins glorieux – surtout en période électorale - que la distribution gratuite de mirages dont chacun sait bien que plus on s’en rapproche, plus ils s’évaporent…
Compagnie des Alpes

Renouveau de Val publiera au début de la semaine prochaine sa tribune de janvier n°33. Vous y trouverez en première page un article intitulé : "Compagnie des Alpes : concession durable". Durable, pourquoi ? Parce qu'il est temps d'admettre que la durée, et surtout la pérennité de la concession doivent être garanties dès lors que la Commune et le concessionnaire ont pris des accords durables et précis dans le domaine des investissements. Pour Val d'Isère, le partenariat de la Compagnie des Alpes constitue une opportunité exceptionnelle. Lisez la tribune n°33, elle jette les bases de ce que devrait être une longue et fructueuse collaboration entre nous. Nous y reviendrons souvent et en détails.
Coup de chapeau

L'avalanche déclenchée cette semaine dans la "Spatule" par un couple imprudent aurait pu se solder de façon encore plus grave. Coup de chapeau à l'efficacité de secours organisés avec sang-froid et compétence.

samedi, janvier 06, 2007

Conseil municipal

Le prochain conseil aura lieu le jeudi 18 Janvier à 19:00 h. Bien que l'ordre du jour n'a pas encore été adressé aux élus on peut penser qu'un échange de vue interviendra entre eux au sujet de la cession de concession de nos remontées mécaniques. Nous vous en reparlerons la semaine prochaine mais de toutes les façons nous vous conseillons de garder votre soirée libre...