Jacques Le Privey...

se présente

J’ai 50 ans, suis marié à Magali Bellier et père de trois enfants.

Je suis originaire de Val d’Isère. Après une formation hôtelière, je me suis orienté vers l’enseignement du ski. (moniteur à l’ESF depuis 1976) je viens également d’ouvrir un restaurant au Fornet.

Je suis au Conseil Municipal depuis 2001, aux côtés de Serge Paquin.

Invité à entrer en politique sur une des deux grosses listes en 1983, (à l’époque où j’assurais quelques responsabilités au sein du Centre de Secours en Montagne de la station) je me retrouvai membre d'une petite liste dont je ne m'aperçus que plus tard qu'elle n'était au fond qu'une petite annexe officieuse d'une grande liste voisine !

Je compris alors que mon caractère franc-tireur ne se satisferait plus dans l'avenir de ce genre de stratégies opaques pour les électeurs.

C’est à cette période que je fis la connaissance de Serge.

Tout au long de ces années, j’ai pu constater, l’attachement et l’amour que Serge porte à Val d’Isère.

Et si je suis, aujourd’hui encore à ses côtés, c’est que j’ai l’intime conviction que, dans une conjoncture difficile, il est le plus qualifié pour rétablir une certaine cohésion et crédibilité qui nous font défaut actuellement.

Jacques Le Privey

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Au conseil municipal de ce jeudi soir, la question suivante a été posée par Serge Paquin à monsieur le maire :

« Monsieur le maire,

Nous apprenons que des représentants d’une liste de candidats, tête de liste en tête, se rend auprès du personnel communal, dans les locaux communaux affectés au service, pour y faire campagne, avant même la fin des horaires de travail.

Etes-vous au courant ? Si oui, avez-vous donné votre accord ? »

La réponse fournie par monsieur le maire est qu’une autorisation a été sollicitée auprès de lui par un responsable du service et qu’il a effectivement donné son accord.

Au nom de l’opposition municipale, Serge Paquin exprime ses vives critiques devant cette situation. Il doute en premier lieu de la légalité d’un prosélytisme politique effectué dans ces conditions sur le lieu de travail d’un personnel communal tenu par ailleurs à l’obligation de réserve.

Il exprime également sa désapprobation au regard d’une démarche électorale qui tend à prendre en otage un personnel par nature voué à se trouver placé sous l'autorité professionnelle du prochain maire, quel qu'il soit.

Il trouve enfin repréhensible que le maire de la Commune ait pu donner un accord qui méprise l’intérêt et l'indépendance des personnels et qui est contraire à l'impartialité dans laquelle devrait se tenir le chef de la Commune à la fin d'une campagne électorale.

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Dans une bonne bouteille, il y a le flacon et il y a la liqueur. Dans cette campagne, les uns se soucient du flacon, les autres de la liqueur.

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Vendredi 7 mars à 20:00 h, les colistiers de "Val Différence" vous accueilleront au CHO pour se présenter à vous... et vous offrir une surprise.

Jean-Marie SCARAFFIOTTI...

se présente à vous !

47 ans divorcé et un enfant.
Je m'adresse brièvement ici à tous les gens qui me connaissent et aussi à ceux que je n'ai pas encore eu la chance de rencontrer et qui ont décidé de voter à Val. J'ai décidé de m'en remettre à nouveau à vos suffrages pour de multiples raisons, dont deux qui me paraissent les plus importantes :

1: Réussir les championnats du monde et profiter de l'importance sportive et médiatique que cet évenement majeur que nous avons la chance d'organiser peut nous apporter maintenant et pour un long futur.
Aussi nous faut il faire les bons choix!

2: Apporter à tous nos habitants services de vie et de proximité que nous sommes en
droit d'attendre au 21e siècle, malgré les contraintes et vicissitudes de nos quatre saisons si contrastées. Après un mandat de sept ans terriblement frustrant, ayant amené Val d'Isère devant quelques obstacles qu'il lui faudra rapidement apprendre à franchir, je suis heureux de faire à nouveau partie de cette équipe.

Val différence est la bonne liste pour Val d'Isère, composée de personnes représentant toutes les catégories sociales du village, pleine de talents diverses et remplie d'une grande et sincère motivation.
Elle est prête à travailler avec son chef Serge Paquin en qui elle a toute confiance.

Alors n'hésitez pas ! Votez la liste complète Val différenceaAfin que tous ensemble nous vivions mieux chez nous et puissions porter à nouveau Val d'Isère en exemple.

Jean-Marie SCARAFFIOTTI

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Vendredi 7 mars à 20:00 h ! Ne ratez pas notre rendez-vous au CHO. Ce sera court...mais très vivant !

AU COEUR DE L'ALPAGE,

RENCONTRE

Christophe Mattis porte son terroir dans le sang.
En harmonie avec l’environnement qui l’a vu naître,
il travaille le bois, s’occupe de ses bêtes,
et incarne l’intégrité des vrais montagnards.

D’OU ETES-VOUS M.MATTIS ?
Ce petit village du Fornet fait partie de ma vie, et celle de mes aïeux. Mon père a été berger et guide, et mes frères et sœur sont tous dans les métiers de la montagne. Nous avons cette culture montagnarde, simple et modeste. Ces valeurs sont indicibles, on a ça au fond de soi et on le vit bien.

JUSTEMENT, COMMENT SE TRADUIT VOTRE VIE DE MONTAGNARD ?
J’ai environ 1000 moutons, mon activité se concentre autour d’eux en été. Ils sont en alpage dans la réserve naturelle et dans le parc national de la Vanoise à Prarion. L’hiver, je travaille le bois, qui m’a toujours fasciné. Après une école d’agencement à Chambéry, j’ai été lauréat au concours d’entrée de l’école Boulle.

CE STYLE DE VIE TRANSPORTE DES MESSAGES…
Oui, je voudrais que l’on prenne conscience que les hommes font partie de la biodiversité, que la vie s’intègre parfaitement aux cycles de la nature. Il faut absolument préserver et promouvoir ce qu’il reste de la vie des vrais montagnards, discrets, travailleurs et attachés à leur environnement.

ON VOUS RETROUVE SUR LA LISTE DE SERGE PAQUIN, POURQUOI ?
Par bon sens, et la sagesse montagnarde m’a dicté mon choix. Il y a le feu à la bergerie.
Alors, pour moi, Serge, doit être notre Berger Majuscule,
Comme un M de Montagne.

ENCORE UN PETIT MOT ?
Gros bisous à mes deux petits Montagnards, Cyprien 5 ans et Clovis 2 ans.

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Faire D'jeuns...adonf !

Certains marquent une prédilection marquée pour tout ce qui est « jeune ».

Ce "jeunisme" d'hommes mûrs, n'est peut être au fond de leur part qu'un aveu d’impuissance. Depuis que l'on écrit l’histoire, la Cité a le plus souvent été gouvernée par les Anciens. Les exceptions sont rares…et souvent malheureuses.

Ceux qui insistent tant ici sur l’âge de leurs disciples, confondent-ils tecktonik et gestion communale ? Ou bien est-ce pour montrer comme ils se sentent toujours jeunes...

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COMMUNIQUE

Depuis quelques temps nous avons dû censurer un certain nombre de messages souvent rédigés dans des termes désagréables voire déplaisants. Ces messages visaient des candidats appartenant aux différents camps, le nôtre compris. Ce blog est un moyen d’information et de communication. Les critiques peuvent évidemment s’y exprimer. Mais les invectives, les insultes, les injures et la diffamation sont proscrits.

Val Différence

Olivier DIVAY...

se présente

Olivier Divay, 36 ans, célibataire.

Après des études en Alsace, plusieurs mois dans l'industrie automobile en Picardie, j'arrive à Val d'Isère en 1995, au bureau d'études de la STVI, où je définis et programme la maintenance des remontées mécaniques. J'y suis par ailleurs délégué du personnel, non syndiqué.

Beaucoup me connaissent par mes activités associatives; je suis trésorier et formateur informatique bénévole au sein de l'association Vievaldis, dont je suis un des membres fondateurs.

Je souhaite prolonger mon engagement citoyen et associatif dans l'équipe de Serge Paquin pour développer et défendre une Val d'Isère plus sociale, plus vivante et conviviale, un vrai village aux quatre saisons, plus à l'écoute des besoins de ses habitants et de ses clients.

Je veux défendre avec détermination le logement social, à tarifs réellement modérés; trop de ménages, de travailleurs avalins, ont ici un train de vie lourdement obéré par des prix très élevés, y compris à la SACOVAL et à l'OPAC.

Outre ma sensibilité associative et sociale, je souhaite aussi apporter mon approche technique, pour encourager à des choix communaux réalistes, techniquement et financièrement.

Je suis fier d'intégrer une liste qui représente la diversité des avalins de cœur ou de souche, une équipe tournée vers l'avenir qui n'a aucun intérêt personnel à défendre.

Olivier DIVAY

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Electeurs, attention ! Pour choisir votre maire, il ne suffit pas de voter pour lui. Il faut surtout voter pour ses colistiers, sans le moindre panachage ! Car n’oubliez pas que ce sont eux, si vous les envoyez majoritaires au conseil, qui éliront le maire de votre choix !

Intox, Pistes ...

...et mensonges

Une rumeur - aussi stupide que ceux qui la répandent au mépris de l’obligation de réserve que leur impose pourtant leur statut – s’efforce de terroriser les pisteurs. Elle dit, cette rumeur : "Si Val Différence passe, vous êtes cuits mes pauvres, "IL" vous vendra tous avec vos armes et vos bagages à …la STVI !"

Faut-il être bête, tout de même. Il est vrai que quelqu’un disait "Calomniez, calomniez, il en restera bien quelque chose". "Quelque chose", c’est quelques voix inquiètes qu'on fait passer en face...

Il y a 8 jours déjà, "des pisteurs en attente..." intervenaient sur ce blog par le biais d’une plume qui demandait en toute innocence "à quelle sauce je comptais manger, ou bien vendre, ou encore brader, le service des pistes".

On est là peut-être en présence d’un syndrome caractérisé de paranoïa, qui perturbe la pensée, les sentiments ou le comportement d'une personne de façon suffisamment forte pour rendre son intégration sociale problématique ou pour lui causer souffrance.

A moins plutôt qu’il ne s’agisse que – et c’est moins grave – d’une maladie récurrente à caractère épisodique, les symptômes étant généralement espacés de 6 ou 7 ans ; vous aurez reconnu le délire électoral incontrôlable.

Je confirme donc ce qui a été dit, répété et écrit : les missions du Service des Pistes ont pour la plupart d’entre elles un caractère régalien, c'est-à-dire ne doivent relever que de la seule autorité politique et d’abord de celle du maire dont la responsabilité, y compris pénale, est directement engagée par tout manquement ou défaillance dans leur accomplissement. A ce titre, ces missions ne sont ni sous-traitables, ni délégables, et le maire doit conserver sur elles un contrôle étroit et une autorité personnelle.

Je suis conscient qu’il ne reste qu’une quinzaine de jours avant les élections et que c’est un peu la course contre la montre entre mensonges et intox. J’étais pourtant clair sur ce sujet dans un commentaire déposé le 17 février sous "Bruno MATTIS se présente". J’espère l’avoir encore été aujourd’hui et que chacun - en conscience – fera la part qu’il faut entre les miaulements susurrés par un groupuscule gonflé de propagande et la mise au point que je fais ici.

Serge PAQUIN

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Pierre PAQUIN se présente...

Pierre Paquin, 28 ans, je suis membre des équipes de France de ski depuis 8 ans.

Parisien d'origine, Je suis depuis tout petit passionné par le ski. Je n'aurais jamais pu prétendre à devenir un skieur de coupe du monde sans la confiance de mes parents d'une part, et surtout sans le soutien de Val d'Isère lorsque je suis arrivé ici.

C'est conscient de la chance que j'ai eu de rencontrer des gens qui ont cru en moi et sur qui encore aujourd'hui je peux compter que je me présente devant vous.

Val d'Isère m'a donné et me donne toujours les moyens de poursuivre le difficile chemin du sport de haut niveau. Aussi vais-je m’efforcer maintenant - si vous acceptez de m’élire - de rendre à mon Pays un peu de tout ce qu’il m’a permis d’apprendre dans cette école de l’effort qu’est le ski de haut niveau et aussi de l’expérience que j’ai eu la chance d’acquérir en découvrant des stations du monde entier, bien au-delà de notre Europe (Chili, Argentine, Etats-Unis, Nouvelle Zélande etc.)

Me voici donc devant vous sur la liste de Val Différence, aux côtés de mon père.

Je le sais animé du même désir que moi, comme peuvent l'être d'autres du reste, mais chez lui cela ne se manifeste pas seulement une fois tous les 6 ans.

Depuis plusieurs années, je suis bien placé - en spectateur privilégié - de l'action quotidienne de mon père pour Val d'Isère. Son désir est grand de donner à Val les moyens d'être une des plus belles stations de ski du XXI^ème siècle, et enfin que chacun, d'ou qu'il soit, quoi qu'il fasse, puisse trouver sa place dans notre village.

Je crois avec sincérité qu’il est le mieux capable de relever ces défis. En ski de compétition, le succès est toujours le fruit d’un entrainement intense et laborieux. Eh bien je crois que mon père est un homme bien entrainé.

Pierre PAQUIN

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Une personne a déposé sur le site www.lyon-communiques.com un communiqué qui modifie de manière honteuse le message de soutien déposé le 20 février par le Professeur Philippe Mikaeloff sur notre blog. Il ressort de façon mensongère de ce pseudo communiqué que le Professeur Mikaeloff cautionne la liste Bauer ce qui est exactement le contraire de la vérité. Ce faux a du reste été copié-collé par http://stations-haute-tarenactifforum.com .

Ces deux fausses publications ont été corrigées et l’adresse IP de l’émetteur du message nous a été communiquée. Il s’agit d’un numéro à 10 chiffres dont par décence nous ne livrons ici que les 3 derniers : … … . 214, géré par Wanadoo Annecy. Nous transmettons cette information au Professeur Mikaeloff qui appréciera la suite judiciaire à donner.

Stéphane BRISON...

se présente...

Je me suis enfin décidé à rejoindre ce "Capitaine" et ses marins, sur ce bateau, afin qu'il nous porte vers des horizons plus sereins.

Je suis né dans l'Ain, diplômé de ski alpin (j'enseigne à l'ESF de Val d'Isère depuis 1990), diplômé de ski nautique.

J'ai 42 ans, marié à Cathy, un petit garçon de 5 ans (Maël), et bientôt presque 20 années passées à Val, la moitié de ma vie, à ce jour, parmi vous.

Ma décision de rallier Serge Paquin et toute son équipe, n'est pas une décision de "dernière minute". Je l'ai mûrement réfléchie, en concertation avec mon épouse. En m'engageant, j'affirme la volonté de m'investir pour l'amélioration de la qualité de vie de notre commune, retrouver des projets ambitieux mais cohérents. Travailler ensemble afin que les championnats du monde de 2009 soient à l'image de VAL D'ISERE, une station d'Histoire, de Qualité, Sportive et Chaleureuse.

Pourquoi Serge? Faut-il encore se poser la question ? Nous savons qu'il est l'homme de la situation, un homme intègre, droit, un homme de cœur, de passion et de confiance, qui tiendra ses engagements. Je m'engage à ses cotés, bien décidé à me battre, pour ce village, nos enfants et pour tous.

Sportivement,

Stéphane BRISON

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La gauche n’a pas le monopole du cœur. Pourtant il y a des gens de tous bords qui ont du coeur. Il est triste que les conservateurs y trouvent à redire.

Serge PAQUIN

Le dessin ci-contre n'appelle d'autre commentaire que le sourire. Si vous souhaitez déposer un commentaire, faites-le sur le "POST" précédent qui concerne Didier Ricout

Didier RICOUT...

se présente

Didier RICOUT, 54 ans, en couple habitant Val d'Isère à l’année.

Intendant / Gestionnaire du centre UCPA depuis 1981. Je suis arrivé dans la station comme beaucoup à cette époque pour une ou deux saisons et me voilà toujours, mon attachement au village n’ayant d’égal que la longévité de mon séjour.

Je vis en bonne compagnie avec les chiffres mais cette fréquentation quotidienne m’emmène à deux passions la bibliophilie et l’art moderne et contemporain.

Durant ces années, l’opposition constructive de Serge PAQUIN et de son équipe siégeant au conseil municipal m’à conforté dans l’idée que ladite opposition n’était ni de façade, ni de circonstance.

Les propensions de cette équipe à se coltiner (pardonnez le terme un peu familier) les problèmes les moins populaires, à ne pas aller vers le plus facile, avec une politique tournée vers le bien collectif et non pas basée sur le clientélisme, ont emporté ma conviction.

Se constituer un fond de commerce électoral en ne visant que les intérêts d’une partie de la population tirée vers le haut socialement ou le moyen haut, est le fondement du clientélisme. La liste de Val Différence n’est pas de ce tonneau, elle rassemble des femmes et des hommes guidés par l’intérêt général.

Je rejoins ce groupe qui m’a coopté avec fierté et enthousiasme.

La volonté, exprimée dans le programme de Val Différence, de briser la domination de cette oligarchie au bénéfice d’une démocratie qui à mon sens est « la protection de la minorité et non pas la loi de la majorité » me convient totalement.

La relation du maire et de son conseil détermine la bonne gestion de la commune, ces valeurs ne peuvent être portées que par un collectif uni dans ses convictions.

Une note d’humour en paraphrasant Alphonse ALLAIS qui définissait les promesses électorales ainsi « Avant d’éblouir le peuple en lui proposant de l’eau chaude, il faut lui fournir les récipients pour la contenir ».

Le pragmatisme lié à ma fonction de gestionnaire me met à l’abri de ce genre de tentations.

Ce même pragmatisme me fait adhérer au projet de Val Différence, projet dont la finalité se concrétise par des propositions mesurables en termes de réussite.

Les électeurs donnent leurs faveurs, à nous de mériter leur confiance en appliquant ce programme ambitieux et réaliste.

Didier RICOUT

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à l’attention d’électeurs non résidents ou distraits...

La liste « imaginonsval » est réputée pour le soutien qu’elle reçoit des Mattis et des Bonnevie dont certains sont ses colistiers.

Mais il ne faut pas que certains électeurs se méprennent : si l’on trouve bien sur la liste « imaginonsval » un Mattis et trois Bonnevie, on recense sur « Val Différence » la présence d’une Bonnevie et de…deux Mattis !

Car à Val d’Isère, ces deux noms sont répandus, et partagés par plusieurs familles, souvent généalogiquement éloignées, les Bonnevie du Fornet n’ayant par exemple rien à voir avec certains Bonnevie du Joseray ou de La Daille !

Le mieux serait sans doute de se soucier d’abord et avant tout des mérites et compétences des candidats, plutôt que de leur arbre généalogique…

Martine MARCHAND...

se présente

A la fin de mes études, je débute ma vie professionnelle à Paris dans la publicité. Vite lassée de vivre en ville et aimant le ski, je décide de partir en montagne faire une saison d’hiver et arrive à Val d’Isère…. il y a 37 ans…

Je travaille quelques années dans l’immobilier : vente et location, puis fais le choix de m’arrêter pour élever mes 2 enfants pendant 9 ans.

Je mets à profit cette période pour mettre sur les rails la bibliothèque municipale avec la directrice de l’école maternelle, bénévolement au départ, puis salariée de la commune.

Puis vient la création du restaurant d’altitude familial, dans lequel j’ai pu épanouir pendant 20 ans mon goût de l’accueil et de la satisfaction de notre clientèle hivernale.

J’avais décidé de ralentir mes activités professionnelles quand…

Serge PAQUIN est venu me solliciter pour faire partie de sa liste.

J’ai longuement hésité à lui donner mon accord (je sais, ce n’est pas original…) pesant le pour et le contre, mais j’ai finalement choisi de m’engager auprès de lui car je pense qu’il est actuellement LE maire dont Val d’Isère a besoin de par ses compétences, sa disponibilité, son intégrité ainsi que l’amour et l’intérêt (sans intérêts) qu’il porte à notre petit village mais aussi grande station, avec toute la dualité que cela représente.

J’ai aussi trouvé auprès de Serge et de l’équipe qu’il a rassemblée autour de lui des personnes sensibles à ce qui me tient à cœur :

- plus de convivialité dans la vie avaline, avec le développement d’activités « rassembleuses », telles l’école de musique, chorale, comité de lecture, yoga, théâtre, etc. en apportant une aide efficace aux associations dans lesquelles des bénévoles se dévouent.

- le souci du bien-vivre des avalins et en particulier des soins apportés aux personnes âgées vivant à Val, ayant pu mesurer personnellement les difficultés rencontrées dans ce domaine.

Merci de votre soutien et de votre vote, dans l’intérêt de VAL d’ISERE.

Martine Marchand

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L'avis d'un vieil ami de Val :

Je suis un fidèle de Val d'Isère depuis plus de 50 ans. Je connais donc la plupart de ses habitants. Cependant je ressens comme un devoir de donner mon opinion sur cette prochaine élection et de vous mettre en garde.

Val d'Isère a besoin d'une équipe municipale homogène, honnête, soucieuse uniquement des intérêts de la station et des skieurs : il y a beaucoup à faire. Objectivement je pense que c'est le cas de toute l'équipe qui se présente sous l'étiquette PAQUIN.

L'équipe adverse est hétéroclite, impliquée dans des intérêts locaux partisans, composée de familles qui avaient coutume de se hair, donc encline aux arrangements divers. De plus, elle comprend M. Gérard Mattis que je connais bien, avec lequel j'ai eu des relations personnelles, lesquelles me conduisent à exprimer les plus expresses réserves au sujet de sa capacité à assumer des responsabilités au nom de l'intérêt général.

Le vote pour une équipe honnête est donc essentiel pour l'avenir de cette belle station. N'ayant jamais voté à Val d'Isère, je ne défends aucun intérêt personnel.

Professeur Philippe Mikaeloff

Rachel Schioser...

se présente

Rachel Schioser. 45ans. Mariée, 2 enfants Priscillia et Adrien.

Avaline depuis de nombreuses générations je suis la fille de Maryse et Gilbert ALLOSIO et, pour les plus anciens, la petite fille d'une des figures de Val : Edmond ROND.

Beaucoup d'entre vous me connaissent, j'ai été l'assistante de Jean-Louis PERES durant les 10 années où il a exercé comme dentiste.

Maintenant je m'occupe de ma location et d'un chalet au Fornet.

J'ai pris la décision de me joindre à l'équipe de Val Difference car la situation de notre joli village est préoccupante. A l'heure où l'on parle de mondialisation, de compétitivité il faut à la tête de notre commune un homme de compétence, un gestionnaire rigoureux, un « incorruptible » pour que les seuls intérêts de la commune et de TOUS ses habitants soient mis en avant.

Il faut un vrai changement dans la gestion de notre commune et Serge PAQUIN est l'homme qui pourra remettre VAL dans le droit chemin.

Que notre station redevienne LA STATION de ski numéro 1 !

Rachel Schioser

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COMMUNIQUE

Lors de sa réunion tenue hier soir à 19:00 h la liste provisoire de Val Différence a examiné les différentes candidatures qui se sont proposées pour rejoindre et compléter la liste. A cette occasion les candidats suivants ont été retenus :

Stéphane BRIZON, moniteur ESF -
Olivier DIVAY, Bureau d'études STVI -
Didier RICOUT, Intendant UCPA.

Patrick MARTIN...

se présente

Patrick Martin, 44 ans, marié à Corinne. Nous sommes les heureux parents de Lucie, Rémi et Alice. Je suis installé à Val d’Isère en tant qu’opticien depuis 1985. De part l’éducation que j’ai reçue de mes parents, j’ai toujours préféré agir plutôt que de rien faire et de râler dans mon coin.

Je siège au conseil municipal depuis 1995 et je me suis toujours présenté aux côtés de Serge PAQUIN. Ces diverses expériences municipales m’ont convaincu de la difficulté de diriger une commune et du « poids » d’une telle charge.

J’ai vécu de l’intérieur pendant la première mandature de Bernard CATELAN la difficile aventure d’une équipe privée de son chef et je pense que bien des maux dont nous souffrons proviennent de ce mandat tronqué. J’ai d’ailleurs essayé en vain, en 2001, d’alerter les futurs adjoints de la municipalité de ce risque.

Pour avoir régulièrement collaboré avec Serge depuis toutes ces années, je peux témoigner ici de sa grande capacité de travail et de son talent pour affronter les dossiers avec rigueur, ténacité et efficacité.

Mon maître mot est la convivialité et j’apprécie tout particulièrement l’ambiance sereine et travailleuse qui règne dans notre groupe aujourd’hui. Le cocktail entre personnes novices et d’autres avec un bagage politique certain, est annonciateur d’une mandature efficace.

Nous sommes tous tendus vers un seul but : servir le plus grand nombre et ne pas privilégier les intérêts particuliers pour le bonheur et la prospérité de Val.

Patrick MARTIN

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La mairie avait convié, samedi dernier à 11 :00 h, à la Maison Marcel Charvin, un certain nombre de notables pour accueillir autour d’un vin de l’amitié Monseigneur Laurent Ulrich, archevêque de Chambéry, accompagné de son vicaire général ainsi que des Pères Denis, Lombard et Genoud.

Ni le maire, ni aucun adjoint, ni même un membre du conseil – hormis un seul – ni encore moins quiconque parmi les candidats aux élections n’étaient présents.

Ce qui prouve qu’il est plus facile de briguer des postes que d’en assumer les fonctions.

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La dernière lettre de Marc Bauer n’est pas avare de belles couleurs. Pour l’entête en revanche, l’imagination n’était pas au rendez-vous. Aussi, pris de court, notre ami a purement et simplement « piqué » le logo de Val d’Isère pourtant juridiquement protégé.

On s’attend évidemment à ce que le maire et Gérard Mattis au nom de l’Office du Tourisme qu’il a l’honneur de présider, et donc le devoir de défendre, surmontent la sympathie que leur inspire Marc Bauer et le réprimandent, au nom de la Commune, pour cette usurpation...

Bruno MATTIS...

se présente

Bruno Mattis, 39 ans, marié 2 enfants.

Avalin depuis toujours. Technicien topographe de formation et accompagnateur en montagne mais actuellement surtout moniteur de ski et loueur en meublé. Je suis donc au contact de la clientèle, et aussi sur le terrain.

Je me suis déjà présenté lors des dernières élections avec Mr Paquin mais n'ai pas été élu…à une voix près ! En dépit de cela, je suis resté fidèle à un homme qui est à l'écoute de ces électeurs, un homme intègre, d'expérience, bon gestionnaire et dévoué, libre à 100% pour Val, qui a une façon de travailler disciplinée et productive.

Si je repars aujourd’hui, c’est un peu grâce à Mr Catelan qui, le 14 mars 2003, sans doute agacé par une question écrite précise que je lui posais, me répondait :" Vous êtes tout à fait libre de vous présenter à la prochaine élection municipale, mettant ainsi vos talents au service de la collectivité"…( !)

J'ai dû assisté, depuis mon enfance, à des dizaines de conseils municipaux. Mon père m'y emmenait déjà quand j’étais collégien , mais contraint bien sûr à y être rester silencieux, J'aurais pourtant souvent bien aimé dire ce que je pensais ! Mais impossible, sauf à être un élu!

Si je pars aujourd’hui, c'est avant tout parce que j'ai envie de participer au changement de la tournure des choses et me dresser contre les risques pris par Val depuis un moment. Bien sur vu mon activité, je suis particulièrement attiré par les problèmes d’environnement, de ski, et services rendu à la clientèle.

Je souhaite avant tout une harmonie entre tous ceux vivant à Val et de Val, et nos clients. Je souhaite que le travail de chacun soit reconnu comme il se doit, et donner la possibilité à ceux qui ont de bonnes idées de les présenter, les mettre en avant. Vous êtes nombreux dans ce cas, mais hélas vous êtez souvent peu écoutés, ou avez la crainte de franchir ce pas.

J'essayerai donc d'œuvrer en ce sens, à améliorer les problèmes du quotidien, veiller à l'équité entre tous, et faire en sorte que chacun puisse apporter sa pierre à l'édifice sans pressions : la tâche est lourde et Val a besoin de tous.

Bruno MATTIS

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Le maire est le chef de la Commune. Il est celui qui, pendant six longues années, va assumer, à temps plein, à responsabilité lourde, une tâche qui requiert expérience et compétence. C’est bien le moins que – dans toute la mesure possible – son choix corresponde à la volonté des électeurs.

Car la désignation du maire par les 19 nouveaux élus ne doit pas ressembler à une partie de bonneteau à la fin de laquelle on découvre la tête du nouveau chef de la Commune au hasard d’une carte retournée que personne n’attendait ! Le Peuple de Val d’Isère exige un peu de clarté. Quand il vote pour le membre d’une liste, il veut savoir avec certitude qui son candidat choisira comme maire- s'il est élu - lorsqu’il votera pour le désigner à la première réunion du Conseil municipal. Ce doit être au fond comme pour le Président des E-U : les électeurs désignent leurs « délégués » avec la certitude que ceux-ci voteront pour le candidat à la Présidence qu'ils souhaitent envoyer à la Maison Blanche !

L'argument qui tue :

être
« contre » !

Il y a une insinuation que l’on faufile comme on peut : « Paquin est contre les championnats » susurre-t-on sans vergogne. Quand on a peu à dire, on fait comme on peut…

Retour donc aux championnats du monde 2009 :

• Lors du Conseil du 24 avril 2003, toute l’opposition municipale a voté la candidature à l’organisation des championnats du monde. Il eût été curieux de la voter...en étant contre !
• Cette décision a été prise sur la base de propositions d’investissements précises et utiles. Mais le projet voté a été ensuite détourné par la municipalité en faveur d’un projet différent (Centre sportif, piste « Rhône Alpes » etc.) que nous avons jugé ruineux et futile. Notre opposition n’a donc JAMAIS porté sur le principe de la candidature mais sur les modalités modifiées de son exécution.
• Aujourd’hui, à quelques mois des championnats, le prochain maire n’a qu’un devoir : œuvrer de toutes ses forces pour que Val d’Isère présente les plus beaux championnats du monde possibles. Si c’est moi, je m’y emploierai.

Le « Il est contre... » reste malgré tout l’argument principal des gens... qui n’ont rien d'autre à dire ! En 14 années, c’est la troisième fois qu’on me fait le coup.

En 1995, j’étais déjà, parait-il, « contre la modernisation du Vallon de l’Iseran » au prétexte que, pour la réaliser, il me paraissait inadmissible d’abandonner la Bailletta.

3 ou 4 ans plus tard, en 1998/1999, je devenais « contre la STVI » parce que j'estimais nécessaire de protester contre le déficit d’investissements de notre concessionnaire, rendu nécessaire par ses besoins pour financer sa croissance externe dans des stations voisines.

Me voilà maintenant « contre les championnats du monde » parce que j’aimerais bien qu’on les conduise sans ruiner la Commune en investissements grandioses mais futiles.

Pour certains, résister - être "contre" - est un péché mortel. Il faut collaborer.

Pourvu que les 9 et 16 mars prochains, les Avalins, eux-aussi, s’avèrent « contre »…la bêtise !

Serge PAQUIN

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Nous avons lu la lettre de Monsieur Marc Bauer datée du 13 février.

Nous saluons tous ces nombreux jeunes qu’il nous présente. Pour eux, c’est une aventure amusante que de se jeter ainsi dans la cour des grandes personnes. Nous saluons aussi Monsieur Gérard Mattis, pour son humilité et son sens du sacrifice.

Quant à Monsieur Marc Bauer, nous lui disons ceci :

Dans sa passion de servir et d’agir, un chef se caractérise par sa pensée et son caractère. Il forme alors des équipes, pour l’aider dans l’exécution. Vous, Monsieur Bauer, vous faites à l’envers : vous présentez vos équipiers avant même que de nous dire ce que vous en ferez, hormis «donner un souffle nouveau à notre station qui perd son âme » ou bien nous annoncer que « rien ne se crée sans les hommes et les femmes » etc.

On dirait, Monsieur Bauer, que vous êtes un général qui s'interdit d'élaborer le moindre plan, et puise un faible courage dans le petit groupe de sous-officiers dont il s’entoure pour se protéger.

Monsieur Bauer, nos finances publiques, notre endettement, la planification budgétaire des prochaines années, le redressement de notre hébergement touristique, les logements sociaux, le Service à la Personne, notre équipement médical, l’avenir touristique et financier des grands travaux légués par M. Catelan, notre saison d’été, les voitures à Val etc. etc.

Tout cela, comptez-vous n’en parler qu’une huitaine de jours avant les élections, sur la maigre feuille A4 qu’autorise la loi, et suffisamment tard pour éviter ainsi tout débat ?

"Manu" Pointet...

...se présente

A dire vrai, rien ne me prédestinait à me présenter sur une liste aux élections municipales de Val d'Isère.

J'ai bientôt 40 ans. J'ai fini mes études aux Etats Unis. En fait, j'ai passé une bonne partie de ma vie à l’étranger. J'ai créé et gère un hôtel ainsi qu'un centre nautique en Crête. Au total, j'ai travaillé et habité à Bruxelles, Londres, Pékin et Paris.

Mais mes racines sont ici et, chaque année, je reviens à Val d'Isère pour y passer le meilleur de ma vie, car je me sens Avalin de cœur à part entière.

Né à Albertville, je suis savoyard. J’ai enseigné le ski à Val pendant 8 ans et j'ai créé et géré le restaurant « Le Toit du Monde » à La Daille. Je transforme actuellement cette grande et ancienne maison en location meublée haut de gamme.

J'ai choisi de rejoindre Val Différence, car je trouve que son projet est à la fois ambitieux, raisonnable et qu’il est conduit par un homme qui est le mieux capable, à mes yeux, de diriger notre Commune.

Très sportivement,

"Manu" Pointet

§

Beaucoup approuvent notre décision de ne pas réaliser le centre aquatique et de lui substituer un forum couvert de distractions, de loisirs et de rencontre à Vers les Eaux. Mais certains se sont laissés abuser par l’insinuation selon laquelle notre choix impliquerait la disparition de toute piscine à Val d’Isère !

C’est évidemment absurde. Si nous sommes élus nous veillerons au contraire à entreprendre tous travaux nécessaires pour assurer le fonctionnement durable, et si possible l’amélioration, de notre piscine municipale actuelle.