vendredi, avril 25, 2008

2 canards enneigés ne font pas ...



un canard enchainé !



Quelques gamins bien planqués, anonymes – écrivent sur internet anonymement, dans un bling-boum-pom-hue à l’anonymat encore plus étanche.

Sous la couette protectrice de cette clandestinité, et abondamment documentés par un compère infiltré, – ils accablent le nouveau maire d’allusions constantes à son hygiène, ridiculisent son 1er adjoint dit « Bouc de Solaise », déversent des sarcasmes incessants sur l’opposant, pseudonymisé « Jambon de Paris », qu’on affirme « frappé de préemption », que l’on moque comme étant « agité du bocal », avant de lui prédire l’expulsion par TGV.

Au mieux, c’est de l’extrémisme de quartier. Sauf que dans les quartiers, on montre son visage et son courage. Mais, ce pot pourri de dénigrement, de dérision et d’insultes, déversé sous le manteau sur certains « politiques » pour les disqualifier et les exclure, ressemble à une méthode nauséabonde qui rappelle d’autres temps.

Figurez-vous pourtant qu’un peu las de ce torrent de boue que l’on répand sur lui, une parmi les victimes a retourné le jet contre les arroseurs. Malheur ! Nos bébés « canards enneigés » – prompts à canarder mais détestant ramasser - ne pensent plus, pauvres oisillons tombés du nid fortifié de leur suffisante insuffisance, qu’à piailler et se plaindre auprès des grandes personnes.

Chic, on verra enfin ( !) le beau visage de ces plumitifs qui fustigent les commentaires anonymes quand ils sont publiés chez les autres, sans se gêner pourtant pour déblatérer dans leur propre bling machin-chose, sous couvert d’un anonymat impénétrable. On croit déjà en connaître au moins deux, remarquez…

mardi, avril 22, 2008

Langue de bois...

et calembours de bar


Il se passe toujours un petit rien dans la sphère médiatique avaline. Deux exemples :

I. Le petit doigt sur la couture du pantalon, RadioVal, tout au souci de ne pas déplaire à ses nouveaux maîtres, rend compte de la location par la commune du terrain Bonnevie à la Daille décidée au Conseil :

"Le conseil a validé la location pour un montant de 13 700 € par an. Ce terrain retrouve ainsi sa fonction de parking à côté du Funival. Serge Paquin estimait le coût de cette location trop élevée, ce à quoi répondait Marc Bauer : "Quand un terrain rend le service, il vaut le service".

En fait, Serge Paquin (c’est moi), a dit au conseil les choses de façon moins sucrée. En langage courant (j'adore le langage courant), cela donnait à peu près ça : « …la proposition est de louer cette parcelle en payant chaque année un loyer annuel supérieur à la valeur totale du terrain. En 30 ans, la commune l’aura ainsi payé 30 fois et quand ce sera fini, il n’aura toujours pas changé de mains. En 1988, Mr. Degouey s’était fait moins de noeuds : il avait proposé aux copropriétaires riverains le choix entre la valise et l’expropriation…sauf aux Bonnevie qu’il avait du oublier, le cher-très cher homme, préférant leur offrir « un sacré bon prix » de location. Monsieur Bauer respecte la tradition inaugurée par son ancien maître... ». Tel maire...tel maire.

II. " Bling Blang Pom hue ! » , le second media récemment débarqué dans les valises de la Cour, se « garde » de déplaire en évoquant ces choses dégoûtantes qui chatouillent l’entourage du Mètre. « Bling Blang Pom hue ! » fait exclusivement dans le calembour de Bourg et dans le canular de Bar (évidemment). Malheureusement ce pur produit de la DjeunSS de banlieue savoyarde est à Desproges et Bedos ce que la Savonnette est l’Épaule de Charvet. Quant à son insolence de service continu, elle est à l’humour ce que la chutney sauce est au gigot. C’est bon, mais point trop n’en faut. Pour tout potache, n’avoir que des petites cuillers de chutney à gober, c’est dur.

Pauvres de vous…



samedi, avril 19, 2008

Le communiqué en date du 16/4...

... au sujet du Centre Sportif appelle de notre part les observations suivantes que nous avons adressées à M. le Maire :



Le coût du Centre Sportif et de la reconversion de l’actuelle piscine que ce Centre rendra caduque sera voisin de 30 000 000 €.
C’est :

  • Une dépense incompatible avec l’état de nos finances.
  • Une installation d’un intérêt douteux pour la clientèle.

Une bonne solution

Il est certain que l’urgence de la situation aurait requis une attention immédiate, dès le 16 mars. La CDA avait en effet marqué – avant les élections - un intérêt de principe à la reprise du chantier pour en faire un espace de loisir et d’attractions. C’était la bonne solution.

Il eût alors été souhaitable de réorienter immédiatement le projet, avant le début des travaux de gros œuvre, car leurs éléments (réservations pour ascenseurs et escaliers, fluides, contraintes de portance etc.) risquaient, une fois achevés, de figer les principales caractéristiques du projet et compliquer toute reconversion ultérieure. C’est du reste une chose que M. le Maire a exprimé fort clairement dans son communiqué.

C’est la raison pour laquelle il aurait fallu convaincre Bouygues de modifier les plans pour attaquer tout de suite une coque modifiée, vouée à accueillir un centre de loisir et d’attractions et non les bassins d’un centre aquatique. Pourquoi Bouygues se seraient-ils braqués contre cette reconversion d’un projet destiné à leur être confié de toutes les façons ? Quant au centre de presse, son accueil eût tout aussi bien été assuré dans une coque plutôt que dans l’autre.

Le mérite eût été double :

  • Pas de financement communal.
  • Création aux frais d’un opérateur extérieur professionnel, d’une installation plus propice aux besoins de l’après-ski de notre clientèle.
  • Accueil à l’identique du centre de presse.

Deux remarques :

La première est que la solution retenue – « celle, comme communique M. le Maire, de ne pas ralentir le projet en n’en modifiant rien jusqu’à l’hiver pour se laisser le temps de réfléchir sur des modifications » - a l’apparence de la flexibilité, mais n’en a pas les mérites. Car le gros oeuvre prévu pour le Centre Sportif a des caractéristiques qui figent le projet - c’est ce que dit mot à mot le communiqué de M. Bauer - et qui compromettent donc toute modification structurelle ultérieure d’importance. Par conséquent, la solution municipale qui consiste à « ne pas ralentir le projet », en construisant le Centre Sportif à l’identique jusqu’à l’hiver, condamne la possibilité de toute modification sérieuse après les CM 2009. Elle est donc vouée à rester voisine du projet de l’ancienne municipalité, c'est-à-dire essentiellement aquatique, et sous financement public. Quant à la piscine actuelle, elle est condamnée.

  1. La seconde remarque est que l’enjeu était si grand qu’il aurait fallu refuser de se laisser enfermer, au prétexte de la seule urgence créée par la date du 1er novembre où doit être livré au CLO le centre de presse. La Commune aurait donc du disposer d’un plan B à mettre en œuvre en cas de retard pour échapper à la contrainte de temps créée par la livraison de ce centre de presse.

Ce plan B aurait consisté, en cas de retard, à recourir éventuellement à une structure provisoire. Nous en avons fait chiffrer le coût, il y a 6 mois, par GL events Services. Il était de 375 400 €, ht y compris une superbe décoration sérigraphique revêtant murs extérieurs et plafonds. On était assez loin, M. le Maire, des « cabanes de chantier » dont vous parlez !




jeudi, avril 10, 2008

10 avril, 07:30...


...conseil municipal


Il y a dans l’air un peu d’émotion pour cette première réunion de travail de la mandature. Certains sont sans doute plus à leur aise que d’autres, peut-être même 18 fois plus à leur aise que certain…

Je ne parlerai ici que de 3 questions. Sur 14 points à l’ordre du jour, 11 ont en effet été adoptés à l’unanimité. S’agissant des 3 autres, j’ai voté contre deux et me suis abstenu sur le troisième. Je vous explique :

  1. J’ai refusé d’approuver que la commune soit caution à 100 % d’un emprunt contracté par la SOGEVALDI dans le cadre de son plan global d’endettement (12 460 000 €).

Pourquoi ? Parce que la Commune ne détient que les 2/3 du capital de SOGEVALDI, le 1/3 restant étant entre les mains du secteur privé. Il me semble donc anormal que ces actionnaires minoritaires bénéficient d’un crédit gagé à 100 % par la seule commune, et s’enrichissent ainsi sans risque et en dormant, au seul péril des Avalins. Le maire a bien voulu confirmer que cette position ne manquait pas de pertinence mais a demandé à sa majorité de se prononcer favorablement sur l’accord de cette garantie, en raison du fait que l’opération a été lancée sur cette base et que certains autres emprunts ont déjà bénéficié de la garantie exclusive de la commune.


  1. J’ai également refusé d’approuver la location par la commune de la parcelle connue sous le nom « Bonnevie-Costerg » à La Daille. Pourquoi ? Parce que la proposition est de louer, ou plutôt de relouer, cette parcelle sur la base d’un loyer dont le montant annuel correspond probablement à un peu plus que la valeur totale du terrain…

Cette location a commencé en 1988. Elle s’est interrompu en 2006, le précédent conseil ayant refusé de la renouveler. Elle repart maintenant à nouveau pour douze ans. En 30 ans de location, les bailleurs auront donc finalement reçu, sous forme de loyers, un montant correspondant à une trentaine de fois la valeur du bien !

La chose est particulièrement critiquable parce qu’en 1988, Mr. Degouey avait obtenu des 3 ou 4 autres propriétaires de la zone qu’ils cèdent leurs parcelles à la Commune, sous menace d’expropriation. Pourquoi un traitement différent a-t-il, à l’époque, bénéficié à la parcelle Bonnevie-Costerg qui a échappé à l’expropriation et reçu à la place une proposition royale de location ? Je ne le sais pas.

Ce que je ne sais pas non plus est la raison pour laquelle notre nouveau maire, qui était pourtant aux côtés de Mr. Degouey en 1988 pour procéder à une récupération efficace, expéditive et bon marché des parcelles voisines, fait preuve maintenant d’un comportement si opposé, alors qu’il se trouve confronté à une situation identique.

Je comprends bien que Mr. Bauer répugne à recourir à la menace d’expropriation, même s’il y a quelques années Mr. Degouey avait donné l’exemple à ses jeunes compagnons politiques. Mais de là à dilapider l’argent public, il y a une marge.

Parmi les propos apaisants tenus par le maire, il y a eu l'indication qu’il s’agirait d’une « solution provisoire ». Bon, peut-être, mais 12 ans, tout de même, c’est du provisoire qui va durer…


  1. Je me suis abstenu sur le recrutement de Mr. François Garde.

Mr. Garde nous a été présenté – par écrit seulement, malheureusement - comme nécessaire à « la mise en œuvre d’une réforme structurelle pour l’avenir de la commune de Val d’Isère ». Nous avons observé que le recrutement d’un collaborateur pour être en charge d’une « réforme structurelle pour l’avenir de la commune de Val d’Isère » dont nous n’avons jamais entendu parler – et Dieu sait pourtant que les occasions de s’exprimer n’ont pas manqué au cours des derniers mois - semble un peu prématuré.

Le maire a alors précisé que ce futur « conseiller spécial au cabinet du maire » aurait des responsabilités beaucoup plus larges, puisqu’il aurait autorité sur l’ensemble des services opérationnels de la Commune… A notre demande de précisions, il nous a été confirmé que Mr. Garde était recruté, en fait, pour assumer des fonctions de « super directeur général » de la station toute entière.

Nous avons alors fait remarquer que ni son titre annoncé, ni les fonctions décrites le concernant dans la note de présentation, ne correspondaient à cette révélation de son véritable rôle. A une précision demandée, il nous a été répondu que même notre actuel directeur général des services devrait lui rendre compte.

Une question identique a alors été posée au sujet de la position hiérarchique de Mr. François Garde vis-à-vis de la Régie des Pistes. Elle est restée sans réponse.

Il nous parait pour le moins souhaitable de requalifier le titre de Mr. François Garde – « conseiller au cabinet du maire » semblant inapproprié au regard de la réalité de ses fonctions - en sorte que sa place dans l’organigramme du personnel communal et tout particulièrement vis-à-vis des cadres importants soit dépourvue d’ambigüité.


J’allais oublier ! Il a été procédé au début du conseil à la désignation de toutes les commissions réglementaires et de travail. Le maire ayant précisé la règle que seuls des élus y siègeraient, la candidature des 5 ou 6 personnes que j’avais proposées n’a pas été retenue.

Trois remarques :

  1. Ce nouveau règlement improvisé par la majorité a des relents de règlement…de comptes.
  2. Rappelons en effet au pouvoir que plus de 40 % de ses administrés ont voté pour son adversaire. Avec un scrutin proportionnel, cela aurait évidemment fait beaucoup d’élus sur les bancs de l’opposition. Avec notre mode de scrutin, il n’y en a qu’un, j’en sais quelque chose. Il ne faut pas en abuser.
  3. Ni faire preuve de mauvaise foi en disant qu’on ne retiendra (pour le moment du moins) que des élus dans les commissions…et s’empresser d’y déroger dans des commissions ou Val Différence n’avait pas proposé de candidats !

Serge Paquin




jeudi, avril 03, 2008

Val Différence procède à une...

Mise au point

  1. Val Différence n’a engagé aucune action en annulation des élections. A la clôture de l’élection du 1er tour, notre délégué de liste – en application du conseil donné par la sous préfecture – s’est borné à remettre à M. Catelan nos observations concernant certaines irrégularités dans le déroulement des opérations électorales. M. Catelan a joint ces observations au procès-verbal de l’élection qu’il a adressé en Préfecture. Jugeant sans doute les reproches consignés au PV suffisamment sérieux, le Préfet a pris l’initiative de transmettre au Tribunal administratif pour ouverture d’une procédure contentieuse dont nous avons été informés en même temps que nos adversaires.

  1. Le fait de juger dilatoire et inutile la commande d’un audit comptable ou de nous étonner du recrutement d’un fonctionnaire préfectoral pour diriger le cabinet du maire de Val d’Isère - à côté ou par-dessus le personnel dirigeant de la mairie - ne constituent pas un crime de « lèse état de grâce » mais une réaction à des initiatives dont nous ne comprenons pas le sens.

Ce n’est tout de même pas parce que l’on sort des élections que les incohérences du jeune pouvoir sont à l’abri de toute critique.



mardi, avril 01, 2008

"Quand je veux enterrer une question...



je nomme une commission !"

Un correspondant nous fait part de son étonnement devant le recrutement envisagé d'un "conseiller spécial" auprès du maire chargé d'aider ce dernier dans l'analyse et la prise de décision. Voici un extrait de la réponse que nous lui avons faite :


"Ce qui nous gêne le plus est le fait que nos jeunes dirigeants - confrontés à leurs nouvelles responsabilités - paraissent démunis et affichent le besoin de recourir aussitôt à des audits, des délégataires, des conseillers en tous genres pour voler à leur secours.

Exemple ? On vient d'apprendre deux choses : la première est qu'ils embauchent un "préfet" pour assister le maire au plus haut niveau... Cela leur est, paraît-il, nécessaire pour trier et juger dans les contentieux prétendument innombrables de la Commune.

Pourquoi un conseiller supplémentaire ? On a déjà un directeur général des services fort compétent, des avocats expérimentés, des adjoints au maire qu'on espère gens capables et l'on devrait avoir un maire, plus capable encore, pour trancher lui-même, finalement...

Alors pourquoi un "homme fort" supplémentaire ? Serait-ce parce que cette municipalité, si prompte à critiquer et à fustiger lorsqu'elle sautillait sur la touche, est en réalité dépassée par les questions auxquelles elle doit maintenant faire face ? Evidemment les bling-bling et les Pom-Pom girls pour séduire, c'est une chose. Travailler, comprendre et décider, c'en est une autre.

On dit par ailleurs, second exemple, que le maire aurait annoncé son intention de recruter un cabinet d'audit pour faire la clarté nécessaire sur les comptes de la Commune et informer la municipalité sur la réalité de la situation financière.

Quelle blague ! On dirait vraiment que les comptes de la Commune de Val d'Isère sont aussi embrouillés et compliqués que ceux de LVMH et de ses 2 000 filiales, ou bien encore ceux de la Société Générale, plombés par un trader aventurier et piégés dans les subprimes américaines !

En réalité, les comptes de Val d'Isère sont aussi simples à analyser que ceux d'un commerce, pour n'importe qui cherche à s'en donner la peine.

Je parle de ce que je sais, m'étant pas mal investi là-dedans depuis 7 ans ! Il ne m'a fallu pour se faire qu'un peu de temps et la bonne volonté des personnes qui ont accès aux informations. Pour une municipalité en place, il y a évidemment en plus l'assistance du directeur général des services, celle du responsable comptable et financier, celle encore de nos banquiers souvent de bon conseil etc.

Bref un "audit" commandé
par la-dessus est la chose la plus inutile du monde : a-t-on besoin d'un "audit" pour lire les horaires de la SNCF ?

Soit désir de ne pas agir en s'abritant derrière la bonne raison d'un improbable et lent "audit", soit pour faire "business" en jetant un peu de poudre aux yeux des innocents, on prétend ne rien pouvoir engager sans recourir à une assistance extérieure inutile et couteuse.

Pourtant, la réalité de nos comptes est parfaitement connue : les dépenses de fonctionnement consomment presque toutes les ressources et nos investissements sans compter conduisent à coup sûr au surendettement nécessaire à leur financement. Nous avons les chiffres pour ceux qui font mine de ne pas les connaître. Le cout élevé d'un audit est une charge supplémentaire et inutile qui fera perdre du temps pour découvrir ce que l'on sait ou que l'on prévoit depuis des années.

Dans les deux cas - celui du recrutement d'un préfet providentiel et celui de l'audit incontournable - on assiste à une drôle de façon de gouverner : on désigne, on nomme, on délègue plutôt que de s'engager sur des terrains pourtant parfaitement maitrisables. Le coût et les retards qui en résultent n'ont en réalité qu'un objet, celui de masquer, derrière un écran de fumée, l'impuissance et l'incompétence de ceux qui ont été élus pour agir.

Il y avait, sous la IIIème République, un Président célèbre qui disait : "Quand je veux enterrer une question... je nomme une commission !" Il semble qu'il ait fait des émules en Haute-Tarentaise. Pourvu que cela ne dure pas 6 ans !"

On peut sérieusement se demander quand s'arrêtera ce besoin imaginaire d'avis superposés. Après avoir pris celui de ses proches collaborateurs, de ses adjoints, de nos avocats ou de nos banquiers, celui enfin du nouveau "conseiller spécial" recruté, le maire éprouvera-t-il ensuite le besoin supplémentaire de reconsulter à nouveau, par exemple un cabinet de consultants juridiques ou financiers, ne serait-ce que pour vérifier les avis délivrés par ... le "conseiller spécial" ?

On dit que deux précautions valent mieux qu'une. Certes. Mais à force de circonspection, y aura-t-il finalement quelqu'un pour prendre une décision ?