mardi, avril 10, 2007

Parenthèse…

Certains amis à Val d’Isère estiment que nous ne nous intéressons pas suffisamment aux questions écologiques. Nos préoccupations locales leur semblent un peu terre à terre face aux défis lancés par l’effet de serre, le réchauffement de la planète, sa terrible conséquence pour l’eau, autant de choses qui – selon eux - devraient être mieux prises en compte, ici.

On peut leur faire observer que nous postulons tout au plus à la mairie de notre Commune, non à la Présidence de la République française. Notre rôle est d’aborder les problèmes qui concernent Val d’Isère – y compris, certes, dans le domaine de l’environnement. Mais, s’agissant de ce dernier point, ce ne sont pas les mêmes que ceux du vaste monde.

Que nos amis n’en concluent pas pour autant que nous sommes indifférents à l’enjeu planétaire lancé par la réduction des pollutions d’origine humaine. Même si – naïveté ou optimisme - nos convictions nous portent plus vers Claude Allègre que vers Nicolas Hulot, vers Nicolas Hulot que vers José Bové. Il nous semble en effet qu’il faut faire de la résolution des problèmes écologiques – que la science a identifiés et auxquels elle est capable d’apporter des solutions – le moteur de la croissance, celui du développement des pays du tiers-monde et celui de la réduction des inégalités, et non nous mortifier en cultivant un catastrophisme qui brandit la décroissance comme la juste punition que nous devrions nous infliger pour avoir eu l’arrogance d’arracher à la nature une amélioration imméritée de la condition humaine.

Le développement et la croissance ont pour partie généré des effets nocifs, identifiés, mesurés et possibles à résoudre, au prix d’une prise de conscience qui est en cours et d’actions que l’humanité commence à leur consacrer. Celle-ci poursuivra son effort comme elle a su le faire dans le passé contre les épidémies, les fléaux et d’autres malheurs ou obstacles placés sur sa route, tout au cours de sa préhistoire et de son histoire. Cela lui sera d’autant plus facile que, dans le cas particulier du réchauffement de la planète – et en espérant qu’il est dû à la seule pollution humaine et non pour partie à un cycle indépendant – l’homme est le sujet du problème et non l’objet. A-t-on si peu confiance en lui qu’on le croit capable – lui qui s’est tant battu pour survivre et pour vivre – de s’autodétruire ?

9 commentaires:

TH a dit…

Hélicoptère :

Bonsoir,

« Vu du Ciel » de Yann Arthus-Bertrand a été une émission « compensée carbone » :
Pour réaliser la série documentaire Vu du Ciel, des équipes de reportage ont sillonné la planète en utilisant l’avion et l’hélicoptère, engendrant des émissions de gaz à effet de serre. Fidèle à ses engagements pour la défense de la planète, Yann Arthus-Bertrand a voulu que l’on compense ces émissions de gaz à effet de serre par le financement de projets de reboisement, d’économies d’énergie ou d’énergies renouvelables dans les pays du Sud. Ces actions, réalisées à travers le programme Action Carbone (www.actioncarbone.org), permettent de séquestrer ou d’éviter l’émission de gaz carbonique et de limiter ainsi son impact sur le climat.

Le respect de la nature est un formidable gisement de nouvelles opportunités pour une croissance forte, pérenne et nécessaire pour le bien être de chacun. Restent à trouver les bonnes solutions adaptées à notre station de ski et village de montagne. Et je me refuse à accepter le fatalisme de certains sur la décroissance de notre économie locale.

Pour faire augmenter le chiffre d’affaires, tout le monde sait bien qu’il faut augmenter soit le nombre de clients (stratégie de volume) soit le chiffre d’affaires moyen par client (stratégie de gammes) ou les deux.
Comme le souligne justement deux messages du 9 avril, «anonyme» à 21h41 et MR à 22h56, une stratégie de volume est difficile à Val : la géographie des lieux rend couteux tous travaux d’extension ; une augmentation massive de capacité risque de dénaturer notre site. Par contre, faire dépenser davantage aux clients sur place et faire revenir plus souvent les clients déjà acquis, est une stratégie, parfaitement applicable à Val. Par exemple, 10% de nouveaux clients en hiver comme en été est plutôt difficile ; alors que gagner 10% de chiffre d’affaires supplémentaires par augmentation de la dépense moyenne est possible.

Pour l’accès jusqu’à Val, comme bon nombre de choix qui restent à définir pour l’avenir de Val, il faut savoir quelles gammes de clientèle nous voulons privilégier.
L’hélicoptère, (comme les bus, les taxis et voitures particulières, tous à des niveaux différents) est source de deux types de pollution : l’air et le bruit. Par contre il offre beaucoup d’avantages : la rapidité (sauf en cas de mauvais temps, où il faut prévoir une solution de repli) et donc une fréquence accrue des séjours de nos clients (week-end, ponts…), un service «haut de gamme» (si des horaires réguliers sont mis en place, selon l’exemple entre Nice et Monaco), une clientèle à fort pouvoir d’achat (si la qualité des prestations à Val suit le niveau), une réponse à la concurrence (vis à vis des stations qui, dans le monde, possèdent un accès en avion ou hélicoptère).
Concernant l’environnement, aucune solution n’étant jamais parfaite, deux démarches pourraient être envisagées :
- Pour la pollution de l’air : une obligation, faite aux transporteurs privés qui opéreraient à Val, de souscrire à un programme «carbone compensé». Cela pourrait s’appliquer à tous les modes de transport sur la station ; ce serait alors un formidable vecteur de communication positive sur l‘engagement de Val à concilier développement et écologie.
- Pour le bruit : Une limitation des vols uniquement dans la journée, des plans de vol étudiés, un quota de vols par jour et un droit de regard sur les types d’appareils les moins bruyants pourraient circonscrire la nuisance.
Il reste à trouver le ou les partenaire(s) privé(s) pour l’exploitation et déclencher alors l’investissement de l’«aérogare» ad hoc (hangar pour les hélicos, réception pour les clients, parking pour les taxis et traineaux, etc..) qui pourrait être financé par les taxes (appliquées à chaque billet, type taxes d’aéroport) et la location des installations.

A l'heure des défis imposés par les évolutions culturelles et technologiques de plus en plus rapides, par la compétition mondiale, et par la nécessaire ouverture vers le respect de la planète, Val d’Isère doit opérer sa mutation. Les efforts budgétaires de notre Commune ne produiront des effets bénéfiques que s'ils s'accompagnent de profondes transformations de l’orientation dans le choix des projets à mettre en œuvre.
Qu’en pensez vous ?
TH

Anonyme a dit…

bravo TH voilà comme il faut voir Val d'Isère car je pense que nous sommes très en retard par rapport à certaines stations de ski françaises, apportons plus de facilités à nos clients et nous serons tous récompensés, d'autant plus que celà ne coûterait rien aux contribuables et nous aurions de meilleurs clients, je pense qu'il faut que nous allions tous dans ce sens. MR

Anonyme a dit…

sans être catastrophiste, restons réaliste et anticipons...pour que val d'isère devienne une référence en matière de dévellopement durable !
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Les Alpes se réchauffent
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Le deuxième volet du rapport de l'ONU consacré au climat vient de paraître. Pour la première fois, ce rapport fournit des indications spécifiques sur les effets du changement climatique dans différents pays et régions. Selon l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), les Alpes sont l'une des régions européennes qui seront les plus touchées par les vagues de chaleur et la sécheresse.
De l'avis des experts climatiques, la flore alpine sera repoussée par les espèces persistantes, elle migrera de plus en plus en altitude, et sera même menacée d'extinction. Le réchauffement provoquera une disparition des petits glaciers, tandis que les grands reculeront de 30 à 70% d'ici 2050. Ceci entraînera une réduction de l'alimentation en eau du fait de la disparition des réservoirs naturels que constituent les glaciers. En outre, leur fonte donnera lieu à la formation de grands lacs, qui présentent un risque élevé de rupture et d'inondations. L'augmentation des températures provoquera une réduction des périodes d'enneigement. En cas d'augmentation de la température de deux degrés Celsius et de maintien des précipitations au niveau actuel, le conseil scientifique du climat table sur 50 jours de neige en moins.
Source et infos : http://www.ipcc.ch (en/fr/es)

Anonyme a dit…

Ce qui est écrit ci-dessus propose un scénario certainement fondé sur des hypothèses sérieuses. Mais, cher blogueur qui précède, ce que j'ai voulu dire dans "Parenthèse", et que je répète ici est que ce blog est ouvert dans le cadre des prochaines élections municipales pour accueillir des idées ou des critiques relatives à notre gestion communale. Et non pas pour échanger nos connaissances respectives sur des sujets sur lesquels l'action du maire de Val d'isère est forcémement sans influence...hélas !

Anonyme a dit…

Monsieur Paquin,
je vous rappelle ces quelques points évoqués lors du forum international « Les stations de montagne et le développement durable » qui s’est tenu à Avoriaz le 19 janvier 07 pour vous motivez à vous informer plus en profondeur sur l’importance de faire de cette approche une source d’innovation et de différenciation, à la fois pour motiver les employés des entreprises et organisations concernées, pour attirer les touristes et mériter leur fidélité, pour faire de cette démarche un élément d’image pour la station (des stations comme Aspen ou Werfenweng reçoivent beaucoup de prix pour leur démarche, et ont ainsi une grande couverture médiatique positive), et pour assurer la pérennité économique des activités.


Élaboration d’un plan d’actions concret sur tous les aspects de la gestion quotidienne d’une station :
• Organisation de la démarche et certification environnementale type Iso 14 001,
• Optimisation écologique des systèmes de transport et encouragement de la mobilité douce comme incite à le faire le label Perle des Alpes : station sans voiture, encouragement des transports collectifs à moindre impact sur l’environnement, solutions alternatives de véhicules électriques ou solaires pour les transports inévitables, recours au biocarburant pour les dameuses, etc…,
• Mise en œuvre d’une politique ambitieuse de construction écologique pour les bâtiments neufs et la rénovation sur la base de labels fixant des limites de consommation énergétique (comme Minergie – adopté par la station suisse de Saas Fee -, LEED – le standard utilisé par les stations nord-américaines - ou ClimateHouse – certification utilisée par l’hôtel Vigilius Mountain Resort dans le Tyrol italien),
• Gestion alternative de l’eau et des déchets, recyclage et sensibilisation des touristes,
• Recours aux énergies renouvelables (Aspen ou Werfenweng sont ainsi équipées en panneaux solaires, Whistler utilise l’énergie hydro-électrique de ses cours d’eau au moment de la fonte des neiges, 22 stations américaines s’approvisionnent à 100% en énergie éolienne, etc.) et compensation des émissions de CO2 ne pouvant être réduites,… ;
- La nécessité de ne pas oublier les autres aspects du développement durable, notamment le volet social et humain (avec par exemple les enjeux liés à l’emploi local, au logement des saisonniers, etc.) et le volet économique, notamment tout ce qui a trait au développement économique local;

TH a dit…

L’enneigement aujourd’hui et demain

Bonjour,
Juste une remarque : La gestion communale ne doit pas se limiter aux «affaires courantes». Dans les missions du Maire et du Conseil Municipal, il faut inscrire leur influence pour déterminer les axes majeurs du développement de Val. Et ce serait une erreur de ne pas tenir compte des données sur notre environnement extérieur (informations et perspectives mondiales en matière économique, sociale, politique et aussi écologique), si nous voulons définir une stratégie gagnante, pour notre clientèle et nos habitants, sur le court et moyen terme.

En particulier lors de la toute récente Assemblée Générale de la Caisse Locale du Crédit Agricole (Bourg st Maurice, Tignes et Val), il a été fait état des difficultés économiques d’entreprises locales, liées au faible enneigement. Ceci devrait être une motivation évidente pour que nos Elus réfléchissent à toutes les solutions alternatives à mettre en œuvre pour Val, face aux problématiques de l’enneigement et plus généralement du développement durable
Il vaut mieux prévenir que guérir.
TH

Anonyme a dit…

oui docteur.merci docteur.

Anonyme a dit…

paquinistes et sympathysants, vous faites preuves du même sarcasme et cynisme que lors des conseils municipaux...la forme et le fond doivent se rejoindre...si parfois vous avez de bonnes réflexions sagissant de la gestion de val, il faudrait peut être vous interroger sur la manière de faire passer vos idées...

Anonyme a dit…

Pour le précédent blogger : Pour pouvoir faire passer des idées, il faut le pouvoir et être informé de la vérité : L’opposition n’a ni l’un ni l’autre, et quand on les informe c’est souvent avec des chiffres alambiqués et avec uin dossier qu’ils n’ont pas eut l’occasion de préparer de 100 pages 2 jours avant la réunion du conseil !!! Donc si tu est proche de la majorité, demande leurs le droit d’avoir 50 % des tribunes communale, car l’opposition représente environ 50% des avalin, et demande leurs donc de ne pas monopoliser nos impôts et de laisser l’opposition passer ses idées….
Enfin bref, certains monteur d’équipe disent avoir un super projet de val sans voitures…Un tunnel du Cret à la ferme de l’Adroit, et que des rues piétonnes…C’est beau et bien de réver…Tout le monde serait d’accord…mais qui paye ?
En attendant, il serait déjà bon d’appliquer les arrêter municipaux existant : et de ne pas faire de zèle : zèle de déneigement par ex qui casse les oreilles à 5 h du mat, casse la belle neige et couleur blanche que recherche les clients en faisant apparaître le goudron, casse les route….J’ai vu personnellement les changeuse de 20 tonnes dans le val village casser les lauzettes rouge !!!! Mais cela fera du boulot pour les casseur l’été en maçonnerie…on à tant d’employés…Et enfin casse les jambes, car en vernissant la neige, les chargeurs transforment nos rues en patinoire….Tient des patinoires qui coûte moins cher que celle « Catelan », et en plus rapporte aux toubib en jambe, hanche casées….
Oui les clients : je suis monos, veulent des rues blanches, pourquoi ne pas laisser les rues en sens uniques en laissant l’autre moitié piétonne bloquant le parcage ainsi aux voitures indésirables…une pierre 2 coups…Quitte à laisser en étudiant le trafic une descente aussi à ski jusqu'à matis diffusin, et par ex jusqu’à la banque de Savoie via une passerelle ou un « gué » devant le telesiege du village pour descendre la rue enneigée via le terrain de la futur patinoire…( Des gués il y en à à Lech en Autriche par ex. Ensuite stokers les voitures dans des garages dans la falaise de laDaille via une exploitation du sable pour cela rendant notre béton moins cher et notre route bourg Val sans ces camions de graviers…Ce genre de parking ou l’exploitant peux faire du blé avec la carrière peux se faire par un privé et ne coute presque rien…Ensuite une remonté plate entre la daille et Val sur l’ancienne route que la mairie vie de récupérer… Puis un transport « tram » électrique , et ou un télésiège, télécabine départ du départ funi, intermédiaire style bolin fresse ou le regretté télésiège des lessieres – intermédiaire 3000 avec arrivée vers le bas de la face…Hélas cela ne passe sans doute plus, faute d’avoir eu une planification long terme et d’avoir laisser construire le superbe plateau de la balme….A ce propos, maintenant la municipalité veut faire une remontée mécanique pour les « millionnaires des Carats », leurs évitant de monter à pieds….Une remonté sur la face en pleine avalanche comme le stades !!!, pour que ces personnes voient encore leurs chalet revalorisés au frais de la princesse….comme pour certaines tournes ( cret, fornet…)… C’est un comble…ils ont qu’a assumer lors achat, ou se payer un taxi…un téléski !!! Et les autres auraient du payer les tournes, pare pierre soit disant ( Fornet !!!)
Pour le fornet val, des navettes style trame….electrique en tous les cas si l(hydrogène marche pas ?
Enfin le lavage des rues….Impératif au jet ….ou sont nos employées communaux, et aussi la honte du front de neige maculé, non pas de neige mais crottes de chiens avec lesquelles nos chers bambins font des pâtés….C’est une honte, je n’ai JAMAIS vu un policier municipal sur le front de neige en bientôt 40 ans de ski….Et pourtant l’arrêté municipal existe…Mais dans les rues à 3 devant la gare routière en train de discuter ou toujours 2 par 2 en balade à PV, ou en voiture, la on les vois…Allez au bord de la mer avec votre toutou sur la plage …le pauvre n’aura pas le temps de faire un « pâté » que la marée chaussée à juste titre sera la…
Voilà : encore un coup de geule…On n’a plus de sous : il faut gérer les dettes, les déficits, et ne pas enlever le blanc que tant de stations voudrait avoir….On pourrait même au contraire mettre de mini canon à neige dans certaines rue, pour saupoudrer …L’idée de val piéton du jeudi est une bonne idée à développer à l’année dans plus de rues…
On n’a pas besoin d’usine à gaz surdimmenssionné, l’outils de travail est la : la montagne, la neige, le village, et encore les clients…Les usines à gaz style chaufferie pour qui ???; Patinoire 5 étoiles ??? et piscine Olympique….Tous nos clients citadins les ont chez eux à bien moins cher….
Et si l’on fait un super parking enterré style Avoriaz dans la falaise de la daille, on pourrait ( aurait du déjà) faire des plans d’eau style les brévière en décaissant nos fameux parking de bienvenus à val pour avoir de gauche et droite de la route d’accès l’été de petits lacs via des écluses style sablières : lac à kayak, pédalo, un petit pont sous la route pour aller de l’autre coté ( la ou sont les parking cette hivers…En faisant cela, on aurait l’hiver toujours si l’on y tiens des parking et vidant , ouvrant les écluses, soit une petite patinoire naturel vers parking CCAS circuit glace, et l’été, de beau plan d’eaux avec un Jean Neil Land en grandeur et pas en mini….Car l’espace avec le mini lac l’été est vraiment super, et en ayant ces lacs, style bréviere à écluse, et une passerelle vers les source ce serait super….En complétant cela d’une « retenue au manchet lac » en amont de l’eau rousse, en contraignant, trouvant un relogement pour ceux qui expose des ferraille le long de la route et vivent du tourisme et des aides agricole ,des TP et de leurs travail à nettoyer , Ceux du TP serait sans doute content d’avoir le droit à nouveau de curer l’ISERE comme dans le temps, et il faut être ferme avec les écolo interdisant et nous dirigeant de Paris …Interdire le curage des rivières c’est risquer les inondations, du chômage, et surtout de la pollutions en concassage, et envoie de camion sur les route…l’entretient des rivière c’est toujours fait, c’est une honte de ne plus avoir le droit de curer l’Isère vers la daille : cela met la daille en danger : en faisant les retenue lacs comme je le dis, on ,entretient nos rivières, diminue le risque d’inondation, fait une belle entrée pour Val, crée des activités, élimine des ferrailles ( en les relogeant ailleurs dans les gorges comme avant par ex, car il est important de garder des activités et engins sur val ne serait ce qu’en cas d’inondation par ex..° je pense que sans engager des frais super coûteux on peux s’en sortir…Si les André de la Daille font leur Golf, il y aurait à la base ce, ces lacs à pedalo, j’ai dessiné cela, et cela semble beau…
Voilà, bonne lecture… ;Un Avalin qui y crois encore….
Voilà, comment je vois val Dans 5 10 ans si possible moins…Je rêve sans doute...mais réver me permet de vire mieux!!!!